Le harcèlement sexuel : des informations complètes et pratiques pour mieux la comprendre, l’appréhender et y faire face

Cette page a pour objectif d’offrir à la fois des informations générales sur les différents types de harcèlement sexuel, mais aussi des informations pratiques. Vous trouverez les contacts de différents services d’aide et d’associations qui existent en Belgique pour soutenir les victimes de harcèlement sexuel.

Le harcèlement sexuel est un ensemble de gestes, d’attitudes et de paroles ayant une connotation sexuelle et étant susceptible de porter atteinte à la dignité et à l’intégrité, morale et/ou physique, d’une personne, devenant alors victime.

Une situation de harcèlement sexuel comprend (au moins) un auteur et une victime. Cela concerne tant le sexe féminin que le sexe masculin. Cependant, dans la majorité des cas, la victime est une femme et l’agresseur, un homme.

En d’autres termes, le harcèlement sexuel se caractérise par une situation où une personne, généralement un homme, a des propos ou des pratiques à caractère sexuel envers une autre personne non consentante, souvent une femme. L’agresseur est souvent un individu désirant affirmer son pouvoir de domination.

Voici quelques exemples de comportements de harcèlement sexuel :

  • Remarque-s à connotation sexuelle;
  • Avances répétitives;
  • Commentaire-s grossier-s;
  • Regard-s insistant-s;
  • Invitation-s pressante-s ou gênante-s, etc.

Le harcèlement sexuel peut être exercé dans n’importe quel cadre : lieux publics, milieu professionnel, scolaire, conjugal, sur internet, par téléphone, etc.

Le harcèlement sexuel entraîne diverses conséquences comme :

  • Des conséquences physiques : traumatismes physiques, fatigue, douleurs, troubles du sommeil, troubles de l’appétit et de la digestion, dysfonctionnements hormonaux, hyper-tension artérielle, marques corporelles, etc.
  • Des conséquences psychologiques : stress, anxiété, repli sur soi, isolement, dépression, idées suicidaires, sentiments d’impuissance, d’insécurité, de honte, de culpabilité, de dévalorisation, etc.
  • Des conséquences comportementales : consommation de substances (tabac, alcool, médicaments, etc.).​

Le harcèlement de rue

Dans les lieux publics comme la rue, les parcs ou encore les transports en commun, le harcèlement sexuel peut se manifester de différentes façons : par des regards, des sifflements, des commentaires déplacés, des insultes, etc.

Le harcèlement de rue (ou le harcèlement dans l’espace public) est différent de la drague.

La drague est une forme de séduction destinée à charmer l’autre. Une personne approche une autre dans le but de la séduire. Cela peut par la suite aboutir à un échange sympathique si le/la destinataire est réceptif-ive et intéressé-e.

Le harcèlement de rue naît d’une situation où le/la destinataire montre et/ou exprime un refus clair face à des propos ou à de gestes déplacés mais où l’auteur insiste tout de même. Cela crée alors un climat de peur et de frustration. Une relation de pouvoir inégale s’installe entre les deux personnes.

Il n’existe pas de portrait-type de l’auteur de harcèlement de rue. Selon différents témoins, les harceleurs sont d’âge, d’origine, de religion, de métier et de milieu socio-économique différents. Dans la majorité des cas, il s’agit pourtant d’hommes.

Quant aux victimes, ce sont majoritairement des femmes faisant face à ce genre de remarques ou de comportement. Elles sont de tout âge, de différentes origines ethniques, de corpulences différentes, etc. Ces comportements, comme toutes les formes de violences sexuelles, sont le reflet des rapports de pouvoir inégaux instaurés dans notre société où la domination masculine est encore fort présente et où le sexisme ordinaire persiste. Ce concept représente la banalisation des faits de harcèlement sexiste, qu’ils aient lieu dans l’espace public ou bien dans la sphère privée ou professionnelle.

Consultez notre publication Le petit guide du respect dans la rue (ou ailleurs).

Quelles conséquences sur la santé ?

Le harcèlement dans l’espace public et le sexisme ordinaire sont des formes de violences qui ont, entre autre, des conséquences psychologiques et sociales chez les victimes.

Au niveau psychologique, les attaques sexistes et violentes subies par la victime peuvent ébranler son estime personnelle. Celle-ci va alors se dévaloriser elle-même et parfois même s’approprier les propos tenus par le harceleur. Ces faits de harcèlement peuvent également faire apparaître un sentiment d’insécurité et de peur chez la victime qui évitera alors au maximum de sortir de chez elle, la poussant à s’isoler.

Au niveau social, pour « composer avec le harcèlement de rue », les victimes mettent en place au quotidien de nombreux comportements d’évitement. Par exemple, ne plus porter certains types de vêtements, ou bien emprunter des trajets différents afin d’éviter les rues où elles se sont déjà faites harcelées, ou encore sortir uniquement accompagnées. Ces stratégies prouvent que les victimes ne se sentent désormais plus en sécurité dans l’espace public.

À ces différentes conséquences vient s’ajouter la culpabilisation de la victime par l’entourage et/ou la société. Il n’est pas rare d’entendre : « Que faisais-tu à cette heure-là à cet endroit ? » , « Elle portait une jupe ! », « Elle lui a souri ! » ou encore « Moi à ta place, j’aurais pris un taxi au lieu du métro »

Que faire en cas de harcèlement de rue ?

Il n’existe pas de méthode infaillible permettant de réagir « correctement » face à une situation de harcèlement de rue. Cependant, il est essentiel d’oser réagir, soit en se défendant ou bien en restant impassible. Diverses stratégies existent et peuvent s’avérer efficaces. Vous pouvez, par exemple :

  • Adopter un langage corporel calme et sans confusion, en parlant fort avec une voix claire et assurée afin d’exprimer votre refus.​
  • De pas entrer dans la discussion : en effet, s’il s’agit d’une situation de harcèlement, votre priorité est de la stopper. En parlant avec votre agresseur, il risque de penser que vous êtes intéressé-e.​
  • Employer la stratégie du disque rayé, en énonçant votre refus de manière identique et répétée jusqu’à ce que le harceleur abandonne. Vous exprimez ainsi clairement votre désintérêt.​
  • Chercher de l’aide, en la demandant ou en attirant l’attention sur vous, en prenant les passants à partie. En tant que témoin, il est important de ne pas laisser une situation de harcèlement de rue se produire sans réagir.​
  • Vous fâcher : vous confronter directement à la personne qui vous agresse pourrait la faire fuir.

Il est évident qu’il est difficile de réagir face à certaines situations de harcèlement. C’est pourquoi l’ASBL Garance organise des stages d’auto-défense physiques et verbales à destination des femmes, ayant déjà été victimes ou non de harcèlement de rue. Ces stages enseignent aux femmes les méthodes de prévention dont chacune dispose pour agir sur sa sécurité au moyen d’exemples concrets. Ils leur inculquent également des techniques d’auto-défense.

Il y a également l’association D-Clic​, se situant à Liège, qui organise, en collaboration avec les Femmes Prévoyantes Socialistes de Liège, des cours d’auto-défense verbale et le Wendo.

Le harcèlement sexuel à l’école

Le harcèlement sexuel à l’école peut se caractériser de différentes manières : notamment via des insultes sexistes et verbales.

Il existe plusieurs types de harcèlement sexuel à l’école :

  • Entre camarades de classe, c’est-à-dire entre personnes mineures ;
  • Entre une-e professeur-e et un-e élève : comprenant une personne majeure et une personne mineure.

Le harcèlement sexuel à l’école peut avoir plusieurs types de répercussions sur la santé de la victime :

  • Conséquences scolaires : baisses des résultats scolaires, absences multiples, etc.
  • Conséquences comportementales : isolement par rapport aux parents, aux amis, à la famille, fugues, attitudes violentes, etc.
  • Et également les conséquences liées au harcèlement sexuel en général​.​

Comment réagir ?

L’école a un rôle important de prévention dans le cadre du harcèlement scolaire. Elle a notamment pour mission de mettre en place des lieux d’expression ainsi qu’un climat de coopération entre les élèves et les professeur-e-s. Il est essentiel qu’elle sensibilise les enfants à la question du harcèlement et leur expose les règles du « vivre-ensemble » ainsi que les sanctions éventuelles lors de situations perçues comme étant des « dérapages ». L’école doit également se donner les moyens d’identifier les actes de harcèlement sexuel en étant attentive aux changements de comportements des élèves (isolement de l’élève, chute des résultats, hausse de l’absentéisme, etc.) et prendre en charge la situation.

En ce qui concerne la victime de harcèlement sexuel, il est essentiel qu’elle (ou un témoin) se tourne vers son entourage (amis, famille), son école (professeur-e, directeur-trice, éducateur-trice-s) ou encore un autre service susceptible d’apporter une aide (service de médiation scolaire, services des équipes mobiles, centres psycho-médico-sociaux, ligne verte « Assistance écoles », ligne verte « École et parents », ligne verte « écoute enfants », etc.). Toutes ces pistes constituent la voie de la médiation et de la réparation.

Outre cette option, la voie répressive est également possible :

  • La responsabilité civile personnelle du mineur-e disposant du discernement suffisant, de ses parents ou de l’enseignant-e n’ayant rien fait pour empêcher les faits de harcèlement sexuel à l’école peut être mise en cause ;
  • Une exclusion scolaire de l’auteur du harcèlement sexuel peut être appliquée ;
  • Une plainte peut être déposée auprès des services de police ;
  • L’intervention du juge de la jeunesse peut être envisagée si l’auteur des faits est mineur. Si l’auteur est majeur, une plainte pénale​ peut être déposée.​

Vers qui me tourner ?

Vous trouverez toutes les informations ici.

Le harcèlement sexuel au travail

Comme décrit dans le texte de loi du 28 février 2014, le harcèlement sexuel au travail​ constitue « plusieurs conduites abusives similaires ou différentes, externes ou internes à l’entreprise ou l’institution, qui se produisent pendant un certain temps et qui ont pour objet ou pour effet de porter atteinte à la personnalité, la dignité ou l’intégrité physique ou psychique d’un travailleur ou d’une autre personne à laquelle le présent chapitre est d’application, lors de l’exécution de son travail, de mettre en péril son emploi ou de créer un environnement intimidant, hostile, dégradant, humiliant ou offensant et qui se manifestent notamment par des paroles, des intimidations, des actes, des gestes ou des écrits unilatéraux ».

Il peut s’agir de regards insistants, de remarques détournées, de propositions déplacées, etc. Ce type de harcèlement peut également prendre la forme d’attouchements ou d’agressions physiques.

Voici quelques chiffres ressortant d’une étude française portant sur 306 femmes actives âgées de 18 à 64 ans :

  • Une femme sur cinq a déjà été victime de harcèlement dans le cadre de son travail ;
  • ​57% des femmes interrogées ont déjà subi des blagues déplacées à connotation sexuelle ;
  • 16% déclarent avoir été victimes de chantage sexuel lors de leur embauche ou d’une promotion ;
  • 14% ont déjà reçu des messages (sms, mails, etc.) à caractère sexuel.

Chez 40% des femmes victimes, le harcèlement sexuel au travail a donné lieu à de nombreuses conséquences négatives : 30% ont vu leur santé se dégrader, 28% ont subi un blocage dans leur carrière (pause carrière, pas de possibilité pour gravir les échelons, etc.) et 15% un non-renouvellement de leur contrat.

Pour en savoir plus sur le harcèlement sexuel au travail, consultez l’analyse rédigée par les Soralia : A. MICHEZ, Le harcèlement sexuel au travail, 2016.

Qui est concerné ?

Toute personne peut être harcelée au travail, quel que soit son physique, son âge, son sexe, son orientation sexuelle, son origine ethnique, sa religion ou encore sa personnalité. Par contre, certaines personnes sont probablement plus armées pour affronter ce genre de situation comme, par exemple, les personnes ayant plus confiance en elles ou pouvant s’appuyer sur un entourage sécurisant et rassurant.

Les victimes sont, la plupart du temps, des personnes très investies dans leur travail, désirant bien faire et de sexe féminin. Cet aspect genré du harcèlement sexuel se retrouve également dans les autres types de violences (conjugales, sexuelles, etc.). Cela peut s‘expliquer par le fait que la domination masculine est encore fort présente dans notre société et que la femme est toujours perçue comme une personne plus sensible et fragile, sans réels moyens de défense. Un rapport inégalitaire est également transposable au contexte professionnel : postes haut placés davantage occupés par des hommes, salaires de femmes inférieurs à celui des hommes pour une même fonction, avantages et promotions différents, etc.

Contrairement aux idées reçues, les harceleurs ne s’attaquent pas uniquement à des personnes faibles. Ils vont s’efforcer d’isoler la victime par tous les moyens possibles afin de l’agresser, et ce parfois sans véritable raison. Celle-ci ne comprend pas ce qui lui arrive et tente de trouver une signification aux attaques reçues, sans obtenir de réponse. Elle finit souvent par douter d’elle-même et des autres.

Quelles conséquences sur la santé ?

Deux formes de conséquences spécifiquement liées au harcèlement sexuel au travail peuvent apparaître chez la victime :

  • Des conséquences sociales et professionnelles : incompréhensions provenant de l’entourage, isolement social, rejet des autres, méfiance envers autrui, désinvestissement professionnel, licenciement, long congé maladie, etc.
  • Des conséquences économiques causées par le chômage forcé, les frais médicaux non remboursés, les dépenses en frais juridiques, etc.
  • À ces conséquences spécifiques s’ajoutent également les conséquences du harcèlement sexuel en général​.

L’ensemble de ces conséquences dépend de plusieurs facteurs : la fréquence et l’ampleur du harcèlement, les caractéristiques de la victime (personnalité, état de dépression, colère, sentiment de dévalorisation de soi, perte de confiance, etc.) ainsi que les types de réactions de la victime ​et de l’entreprise.

Que faire en cas de harcèlement sexuel au travail ?

Il est essentiel de réagir très rapidement dès qu’une situation de harcèlement est vécue ou détectée au travail. Plus la situation perdurera, plus les conséquences seront traumatiques et profondes pour la victime.

Repérer les comportements, les gestes ou les paroles inappropriés est déjà un grand pas. Il est important de mettre des mots sur ces agressions, parler à son entourage permet de ne pas laisser l’isolement s’installer. Il est évident que parler des violences vécues, quelle qu’elles soient, est toujours difficile car cela fait revivre à la victime la situation de violence ou instaure en elle un sentiment de peur des représailles. Néanmoins, cela peut aider à se libérer d’un poids et à trouver un appui extérieur.

De plus, lorsque le sentiment de victimisation apparaît chez une personne harcelée, il est essentiel de réagir immédiatement pour éviter l’installation du cercle vicieux du harcèlement.

Par exemple, une des attitudes à adopter est la confrontation directe avec l’agresseur, en lui demandant par exemple des explications par rapport à son comportement. Si une situation de harcèlement n’est pas résolue « à l’amiable », alors la victime ou un témoin peut prendre contact avec la personne de confiance de son entreprise, avec le conseiller-ère en prévention (interne ou externe) ou encore le Comité pour la Prévention et la Protection au Travail. Une intervention psychologique et/ou médicale peut également être proposée en cas de traumatisme profond.

Vers qui me tourner ?

  • Contacter la personne de confiance ou le conseiller en prévention de votre entreprise.
  • Se rendre dans un commissariat de police​.

Le revenge porn

Le revenge porn (« vengeance pornographique », en français) représente la divulgation publique d’un contenu sexuellement explicite sur internet sans le consentement de la/des personne-s apparaissant sur ce contenu. Le but de l’auteur est, dans la plupart des cas, de se venger. Celui-ci est souvent un-e ex-partenaire qui a pour intention d’embarrasser ou d’agresser la victime. Le contenu publié est souvent composé de photos, de selfies, de vidéos, etc. Il se propage principalement sur les réseaux sociaux ou sur des sites pornographiques.

Ces contenus intimes (photos et/ou vidéos) sont envoyés par une personne à son-sa partenaire au moment où ils étaient en couple afin de, par exemple, pimenter leur relation. Mais, lors de la rupture, la situation peut basculer, il est possible qu’un sentiment de haine et une envie de vengeance s’installent pour diverses raisons (infidélité, mensonge, jalousie, tristesse, etc.). C’est à ce moment précis que le revenge porn peut faire son apparition.

Tout le monde est susceptible d’être concerné par ce phénomène (homme, femme, adolescent-e, adulte, etc.) dès lors que des contenus intimes (photos/vidéos) sont/ont été transmis.

Quelles conséquences sur la santé ?

Les conséquences majeures découlant de ces situations de harcèlement sexuel sont principalement de type psychologique. Suite à la publication de photos intimes ou de sextapes (vidéos intimes à caractère sexuel, en français) sur internet, les victimes ont tendance à rester cloîtrées chez elles, à s’isoler et à se renfermer sur elles-mêmes car elles se sentent coupables et honteuses. Il arrive que, malgré un suivi psychologique, les victimes envisagent le suicide ou passent directement à l’acte.

Dans le cas où elles ont envoyé elles-mêmes ces photos ou vidéos intimes, elles ont tendance à culpabiliser en rejetant la faute sur elles-mêmes. Cependant, parfois, ces photos/vidéos sont réalisées à leur insu, sans leur consentement. C’est le cas, par exemple, lorsqu’un petit-ami filme un rapport sexuel avec sa copine, que celle-ci donne ou non son accord, et qu’il publie ensuite le contenu de la vidéo sur internet sans la prévenir.

Quelle que soit la situation, il s’agit, dans tous les cas, d’une atteinte à la vie privée.

Une telle intrusion dans l’intimité d’une personne a bien évidemment des conséquences à long terme, dans ses relations amoureuses futures par exemple. Divulguer des photos ou vidéos aussi intimes représente une forme d’agression sexuelle.

Comment combattre ce genre de situation ?

Il est important de savoir qu’il est possible pour les victimes de porter plainte contre ce genre de violence subie. Cela constitue un premier pas vers la reconstruction de soi-même. Elles peuvent également se tourner vers leur entourage, leurs ami-e-s ou encore des professionnel-le-s.

Éviter d’entrer dans un processus de justification est essentiel. En tentant de se justifier, les victimes se reconnaissent elles-mêmes coupables de quelque chose dont elles sont en réalité victimes. Cependant, empêcher l’installation de ce processus de justification est compliqué car il constitue un mécanisme de défense psychologique inconscient.

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